Cumulus
Dans cette dernière partie de notre TPE, nous allons davantage vous parler des différentes méthodes de vol plutôt que de l'appareil en lui-même.
La première chose à savoir, c’est qu’un planeur ne vole pas comme un avion équipé d’un moteur. Un avion traditionnel vole en ligne droite mise à part dans les virages. Le planeur, lui, comme il perd de l’altitude, doit essayer d’en regagner à l’aide de la météo.
Il existe trois sortes de vol en planeur : le vol d’ondes, le vol de pente et le vol thermique.
Ces trois vols vont permettre au planeur de gagner de l’altitude.
Le vol d'onde :
Qu’est-ce-que le vol d’ondes ?
Le vol d’onde utilise le relief et les vents, il nécessite des « altocumulus lenticulaire », ce sont des nuages de forme régulière qui restent immobiles même en présence de vent. Souvent on utilise cette méthode en montagne ou dans les collines car le vent se compresse en basse altitude et se décompresse en haut. Ce phénomène permet de créer de la portance qui relancera le planeur en haute altitude.
Le vol de pente :
Il est assez similaire au vol d’ondes car il utilise également le relief et le vent mais d’une autre façon. Dès que le vent rencontre un obstacle, l’air doit s’élever pour le franchir. Ce courant d’air permet au planeur de s’élever à une hauteur proportionnelle à celle du vent.
Le vol thermique :
Cette méthode consiste à utiliser des colonnes d’air chaud qu’on trouve le plus souvent en été ou dans les pays chauds. Nous savons que les rayons du soleil réchauffent la Terre. Cette chaleur est ensuite relâchée et créée des nuages qu’on appelle « cumulus ». Une fois que le planeur se trouve en dessous d’un cumulus, il ne lui reste plus qu’à faire des spirales pour gagner de l’altitude.